Créée par Alain Mourles en 2015, artiste, artisan lot-et-garonnais. Sans idéologie particulière, son savoir-faire s’est toujours orienté sur la récupération et la transformation.
Les grains de lumière du soleil, les photons, percutent les atomes de la cellule photovoltaïque, ils mettent en mouvement les électrons pour créer un courant électrique continu. Cette énergie intermittente réduit considérablement la production de CO2 participant au réchauffement climatique. Les composés de silicium à la base des cellules photovoltaïques peuvent être polluants si aucune norme ne les encadre, ce qui est le cas en Chine. Par ailleurs, la Chine “emploie” nombre de travailleurs forcés pour une production stratégique dont l’enjeu est de casser toute concurrence internationale sur un secteur stratégique : l’énergie.
Les cellules photovoltaïques ne contiennent aucun matériau rare, le silicium est extrait de sable ou du quartz qui comme le verre est recyclable à 100%. Ces panneaux contiennent aussi des éléments en argent, aluminium et cuivre. Dans des conditions optimales, on peut aujourd’hui recycler jusqu’à 95% ces produits après 25 ans d’usage.
Inspiration(s) :
Si le recyclage est donc une solution, cette pratique a un coût énergétique. Rien n’est magique. Le réemploi doit toujours être considéré comme prioritaire au recyclage. Sauf quand le coût énergétique de recyclage est moindre que celui de la production ce qui devient le cas pour les panneaux photovoltaïques dans certaines conditions.
Le choix de création fait par Alain préfère le réemploi. Lorsque vous mangez ou travaillez sur cette table, vous êtes en quelque sorte, le soleil post mortem de ces cellules éternelles.